En partenariat avec l’Université de Bourgogne

De nos jours, pour quoi et pour qui, s’engage-t-on ? Quelles causes, quelles valeurs, quels idéaux, ou quels objectifs, plus concrètement, sont les moteurs de l’engagement ? Quels sont les terrains de prédilection de l’action engagée : Associations, entreprises, partis politiques ? Ou nouvelles « effervescences » militantes adeptes de la « démondialisation » et des réseaux sociaux ? Quels sont les cycles et les temporalités de l’engagement ? L’engagement est-il plutôt individuel, ou encore collectif ? Est-il de même consenti, obligé, ou toujours librement assumé ?

En partenariat avec le 3S-CIMEOS (Université de Bourgogne)

Alors que l’actualité nous 
l’entreprise, une lecture profonde tend à prouver que le sacré est en fait un élément structurant de la sphère organisationnelle.
Partant de ce postulat anthropologique, cette journée de recherche se fixera pour objectif d’interroger les manifestations implicites ou explicites de la sacralité dans les organisations, tout en identifiant ses origines, ses expressions et ses effets. Ainsi, textes, rites, systèmes hiérarchiques et symboliques, modalités de transmission... seront analysés à travers un prisme interdisciplinaire, afin de mettre au jour la sacralité des collectifs humains.

Ce colloque a donné lieu à un ouvrage collectif publié chez Hermès-Lavoisier [1]. Un article a été retenu dans la Revue Questions de communication (AERES).

En partenariat avec le LIPSOR/CNAM

Introduction du Pr. Yvon PESQUEUX et de Richard DELAYE: La notion de territoire est plus que jamais d’actualité. Avec ses rites, ses coutumes, ses modes de fonctionnement, on y voit émerger de la valeur, au travers de talents, d’entreprises et de projets. Cependant, il demeure des territoires quelque peu « oubliés » avec des problématiques très souvent similaires : insécurité grandissante, jeunes en perte de repères, sentiment d’exclusion fort, ghettoïsation et quête spirituelle parfois hasardeuse, développement des réseaux formels et informels, financements visant une paix sociale incertaine. Mais c’est sans doute la dégradation de la valeur travail et par conséquent celle de l’emploi, vecteurs fondamentaux d’intégration et de cohésion sociale qui se voient plus sérieusement mise en avant.